Elles sont trois entreprises tarnaises à prendre part, du 5 au 8 janvier, au CES de Las Vegas, le salon mondial des nouvelles technologies: I-Percut, Med and Jobs et Al'goLab.

Les apnées du sommeil toucheraient environ 15% de la population. Ce n’est qu’une estimation car beaucoup de personnes atteintes l’ignorent. Même si les hommes d’âge mûr et en surpoids sont davantage touchés, on peut ne pas avoir ce profil stéréotypé et en souffrir. Hommes, femmes et même les enfants peuvent être concernés.

De trop nombreux Français vivent à plus de 45 minutes de route de leur médecin, qu’il soit généraliste ou spécialisé : dans une étude publiée ce mardi 8 novembre, l’UFC-Que Choisir pointe l’ampleur de la désertification médicale et préconise de réguler l’installation des praticiens et de mettre un terme aux dépassements d’honoraires.

Alors que le chantier de la e-carte Vitale est sur le point de parvenir à son terme, après trois ans de tests à l’échelle locale, les sénateurs ont acté cet été, dans le projet de loi de Finances rectificatives, un premier budget de 20 millions d’euros pour mettre en place la… carte Vitale biométrique. Une véritable marotte pour la droite et l’extrême droite qui l’érige comme la solution ultime dans la lutte contre les fraudes sociales. Problème : ces deux projets différents n’utilisent pas la même technologie et n’ont pas le même but. Sans aucune complémentarité, comment peuvent-elles alors cohabiter ? Pourquoi l’Etat n’a-t-il pas déjà choisi l’un ou l’autre de ces deux projets, plutôt que de dépenser des millions d’euros pour développer les deux ?

Créée il y a trois ans, la profession d’assistant médical aurait permis, selon l’Assurance maladie, à plus d’un demi-million de patients de retrouver un médecin traitant.

Un désert médical désigne une zone géographique dans laquelle il est très difficile, voire impossible, de se faire soigner par un professionnel de santé en raison de l'absence de médecins à proximité. Cette situation traduit une inégalité territoriale dans l'accès aux soins et peut s'avérer dangereuse pour la santé des populations locales.

ENQUÊTE // Pendant leur 5e et dernière année d'internat, les étudiants en médecine ont bûché comme des acharnés pour être les mieux classés aux épreuves nationales. Ils ont jusqu'au 16 septembre, pour choisir leur spécialité en fonction de leur appétence, de la réputation et la localité des C.H.U. mais aussi (et surtout) en fonction du choix des internes mieux classés. Prise de tête assurée.

Avec nos programmes de médecine dentaire, contribuez à la culture d’excellence de l’Université de Montréal et rejoignez la grande communauté des spécialistes de la santé buccodentaire qui font une différence dans la vie des gens.

Depuis presque trois ans, une aide financière pérenne de l'Assurance Maladie permet l'embauche d'assistants médicaux par les médecins. Cette nouvelle fonction vise principalement à améliorer l'accès aux soins des patients ainsi que les conditions d'exercice des médecins, mais aussi à renforcer la qualité des prises en charge en aidant les médecins à regagner du temps au profit de leur cœur de métier : le soin.

De nombreuses aides financières, étatiques et locales, incitent les étudiants et jeunes médecins à s’installer dans des zones sous-dotées en médecins.
La pénurie de médecins «est un des problèmes les plus importants de notre pays», admettait Emmanuel Macron en décembre 2021. En France, 30% de la population vit dans un désert médical et 11% des 17 ans et plus n’ont pas de médecin traitant, selon un rapport sénatorial de mars 2022....

Des professions de santé dans un centre commercial ? La tendance commence à se développer en France. On y voit même un outil pour lutter contre la désertification médicale. Un centre commercial bénéficie, après tout, d’avantages qui permettent de séduire une nouvelle génération de professionnels de santé. On pense à un emplacement stratégique, à des commodités telles que des parkings et de l’espace favorisant le travail en équipe.

Le service de prévention et de santé en milieu de travail interentreprises est doté d’une nouvelle unité mobile pour se rendre au sein même des entreprises et de leurs salariés. Un concentré de technologie au service de la santé au travail.

Un nouveau type de professionnels est apparu aux côtés des médecins : les assistants médicaux. La fonction est ouverte à un large panel de profils, y compris les infirmiers et les aides-soignants. Deux IDE qui ont emprunté cette nouvelle voie témoignent.

Texte à peine publié, déjà critiqué ! Après la parution ce mardi au « Journal officiel » des diverses mesures dérogatoires retenues par le gouvernement pour soulager les services d’urgence et répondre aux soins non programmés cet été, le Syndicat des médecins libéraux (SML) affiche sa déception.

Dans une tribune, le Collectif Santé en Danger, qui réunit professionnels et usagers, alerte sur les difficultés que rencontre actuellement notre système de santé, qui rend l'été très périlleux.

Les infirmières aiment leur métier, elles en sont même fières, pour plus de 80% d’entre elles ; mais elles n’aiment pas leurs conditions de travail ni leur environnement. Un constat qui rejoint celui des médecins, comme l’avait montré une vaste étude du conseil de l’ordre des médecins en 2021. Et c’est d’ailleurs le paradoxe de la crise de notre système de santé : écoles d’infirmières comme facultés de médecine sont toutes remplies, voire plébiscitées, mais pour autant, les hôpitaux connaissent une fuite de médecins et d’infirmières. Cherchez l’erreur…

A quelques jours d'un rapport attendu sur ses pistes d'économies, le directeur de l'Assurance maladie, Thomas Fatôme, a pointé lundi « le poids des maladies chroniques » dans ses dépenses. La tendance se confirme année après année : « on voit une concentration des dépenses de santé autour des maladies chroniques », a-t-il relevé lors d'une présentation à la presse du nouveau site « Data pathologies » retraçant les remboursements pour 57 catégories de maladies, par région ou département, de 2015 à 2020.

Lancée en 2017 par Nathaniel Bern, diplômé de l’école Polytechnique, aux côtés de deux médecins, Charles et Elie-Dan Mimouni, la start-up MEDADOM propose une solution innovante de téléconsultation médicale permettant de mettre en relation un patient avec un médecin généraliste ou urgentiste, pour des soins de santé non programmés.

Le président du Conseil départemental de l’Ordre des médecins d’Eure-et-Loir, Julien Cottet, estime que le recours à la téléconsultation est « une solution palliative » face au manque de médecins...

Le constat est sans appel: selon où vous habitez dans le Gard, notamment dans les zones rhodaniennes et cévenoles, le déficit de médecins généralistes est prégnant. Il s’agit d’un véritable problème de société pour un territoire qui attire chaque année une population toujours plus dense et souvent vieillissante pour qui l’accès aux soins est une priorité....

Une nouvelle hépatite, qui touche les enfants de moins de 10 ans, suscite l'inquiétude de l'Organisation Mondiale de la Santé. Des dizaines de cas ont été recensés au Royaume-Uni, et deux cas suspects sont, mardi 19 avril, sous surveillance en France.

Près d’une centaine de cas d’une forme inconnue d’hépatite ont été identifiés dans plusieurs pays. Alors que les premières études suspectent un lien avec le Covid-19, deux cas suspects ont été relevés en France
Le 15 avril dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) tirait la sonnette d’alarme à propos d’une « hépatite aiguë sévère d’origine inconnue » détectée en Europe. Depuis, près de 75 cas ont été recensés au Royaume-Uni.

« Je ressentais comme une énorme boule au milieu de l’estomac. Je n’arrivais plus à m’alimenter. » Aziz est tombé à 48 kg, contre 65 en temps normal. En mai 2020, on lui diagnostique un cancer : lymphome gastrique.
L’homme de 48 ans est conscient d’avoir échappé de peu à la mort. Il est en rémission depuis décembre 2021, mais il conserve des séquelles importantes et doit suivre « un régime drastique »...

DASTRI est un éco-organisme agréé par l‘Etat pour organiser la filière de collecte et de traitement des déchets de soins perforants à risque infectieux des patients en auto-traitement et utilisateurs d’autotests de diagnostic. Avec l’émergence des dispositifs médicaux connectés, l’éco-organisme a récemment élargi son périmètre d’action.

L’enjeu de cette recommandation de bonne pratique est en premier lieu de sécuriser l’usage des médicaments opioïdes dans le cadre de la prise en charge de la douleur, afin de prévenir tout risque de mésusage et d’addiction, sans en restreindre l’accès aux patients qui en ont besoin.
D’autre part, l’enjeu est de renforcer la formation des professionnels sur la prise en charge du trouble de l'usage des opioïdes, ainsi que de les sensibiliser à une intervention précoce sur les situations à risque et à l’intérêt d’une meilleure coordination....